EDITO : Comme Internet marchait bien aujourd’hui, on a pu faire de la maintenance sur le blog. On a (normalement) réparé le système qui vous envoie des mails quand on publie des articles ! [merci de nous tenir au courant :)] On a aussi affiché sur la page principale les commentaires, comme ça vous pouvez nous raconter vos vies en retour. C’est pas qu’on demande de vos nouvelles, mais bon ça peut être sympa d’avoir vos idées, questions… Et puis comme ça on sera pas les seuls à jacasser ! (sinon, vous pouvez toujours nous envoyer un mail !)
Pour commencer, voici quelques fleurs :
Aujourd’hui, on avait bien mérité une pause. En plus, on a trouvé un super endroit pour la faire. D’abord, on s’est levés tard, ce qui est rare ! On a profité du wifi de l’hôtel (sans grand intérêt) de Mocoa pour chercher plus d’infos sur la région, déduit qu’on devait bouger un peu, on a petit-déjeuné et on est partis. On a fait entre 5 et 10km, et on s’est arrêtés.
En fait, autour de Mocoa, c’est la jungle. C’est pas tout à fait la même qu’à Mindo parce qu’ici c’est le bassin qui se déverse dans l’Amazone et donc dans l’Atlantique, et non pas le bassin du Pacifique comme en Équateur. Ca reste quand même de la forêt tropicale avec des bestioles partout et des plantes magiques (cf. ouvrage de référence). En vrai, on est pas très loin de la limite de la zone où la coca pousse et donc pas loin des enjeux dangereux, mais là où on est, ça pousse mal, donc c’est relax.
Notre auberge est donc un bâtiment tout simple, avec un dortoir en haut et deux chambres au rez-de-chaussée. Derrière, il y a une cuisine extérieure avec feu de bois, un coin hamacs, un jardin avec des légumes et des aromatiques, et des poules.
Sur le terrain d’à côté, où on accède par une porte, il y a quelques bassins de pisciculture, dont le premier est surmonté par une cabane cool pour bouquiner dessous.

Ensuite, il y a un chemin qui descend vers la rivière (boueuse, peu profonde, rapide et plutôt bruyante)

Et enfin, tout en bas… La piscine !

Notre hôte s’appelle Juan, on est les seuls voyageurs, y’a un petit restau en face, et internet marche bien. En plus, maintenant qu’il fait nuit, on entend les grenouilles, Juan joue de l’harmonica, y’a même un chaton qui fait des câlins. La vie est douce !
Des bisous, à demain !
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