Nouvelle Orléans – Jour 4 : le froid à rejoint la partie !

Aujourd’hui, on avait prévu de faire plein de trucs… Mais tout ne s’est pas passé comme prévu !

Déjà on s’est levés dans une chambre froide, très froide (bien plus froide que les 15°C qu’il fait dans les chambres chez mes parents !). Et puis la pauvre pompe à chaleur qui constitue notre unique moyen de chauffage est visiblement plus adaptée à rafraichir la pièce qu’à la chauffer. Et ça, c’est sans compter le fait qu’ici l’isolation des maisons n’est clairement pas une priorité (c’est pas comme si d’habitude il faisait 15°C en moyenne en décembre, et pas 4°C comme aujourd’hui…)

Mais bon, on allait pas trainer au lit, on avait plein de chose à faire. On a donc commencé à se faire le petit déj, et quand on a utilisé le micro-ondes, les plombs ont sauté (En même temps, tous les apparts qui ont un chauffage électrique devaient l’avoir à fond). Génial, surtout quand t’as pas accès au boitier électrique. Heureusement, les plaques sont au gaz, donc on a pu quand même manger chaud 🙂

Après avoir contacté la proprio pour lui signaler le problème d’élec, on s’est préparé pour sortir. On était chauds, on était prêts, on avait appliqué la méthode de l’oignon avec toutes nos vestes disponibles… mais on s’attendait pas à la tempête de neige fondue qui nous a fait rebrousser chemin au bout de 50m. On avait prévu une journée balade et visite de parcs, mais visiblement, c’était pas le moment.

Au vu de la température dans la chambre, on s’est remis sous la couette. La proprio a débarqué en milieu de journée et a sympathiquement proposé de prêter des gants et bonnets, et surtout à laissé ouvert l’accès à la boite à fusibles, puisque d’autres problèmes risquaient d’arriver (et effectivement, c’était le cas).

En milieu d’aprèm, il s’est carrément mis à neiger des gros flocons, sachant qu’il n’a pas neigé ici depuis 2004 ! On se dit qu’on provoque des évènement météorologiques rares, entre la pluie au désert de la Tatacoa et la neige à la Nouvelle Orléans…

La neige s’est arrêtée dans la soirée, elle n’aura pas tenu ici mais certaines communes aux alentours ont jusqu’à 10cm ! Et comme c’était quand même vendredi soir, on s’est chauffés et on a été en ville. Heureusement, le street car (tramway local) tournait, parce qu’il faisait un froid de canard pélican.

Le street car, c’est le même que dans la princesse et la grenouille !

On s’est donc rendus sur Frenchmen street, une rue bordée de bars avec pleins de musique live. Tous les bars ont les portes grandes ouvertes, ce qui permet d’écouter la musique et de choisir celle qui nous tente avant d’y rentrer. Évidemment, ce système est plus pensé pour des nuits chaudes que glaciales, du coup au début on reste en veste. Mais plus la soirée avance, plus la salle se chauffe, au sens propre comme au figuré.

L’ambiance chauffe après le solo du saxo !

Au final, bien qu’on ait rien pu faire de ce qu’on avait prévu dans la journée, on a passé une super soirée à écouter de la musique locale mais aussi un groupe de funk très sympa. Bon, le retour était difficile parce que le street car ne tournait plus (contrairement à ce qui était affiché), et les températures étaient glaciales (au sens propre) !

Plus de news sur le dégel dans le prochain article !

P.S : on rentre un peu tard ces temps-ci, alors on a du retard sur les articles 😉

Nouvelle Orléans – Jour 3 : il pleut toujours mais le moral est bon

Ce matin, bien requinqués, on a réussi à bouger à une heure raisonnable.

On a commencé par une activité inhabituelle pour nous : du shopping ! Il fait plus froid que prévu ces jours-ci, et on était surtout partis avec des habits d’été, donc on se les pelait pas mal quand on sortait, et de toutes façons on ne retrouvera pas notre garde-robe avant un bon moment, donc on a décidé de compléter. Nos manteaux et quelques pulls nous attendent à Paris, mais là, il nous fallait un pantalon chacun de plus pour pouvoir laver les nôtres et survivre le temps du séchage. On a donc été dans un mall, et on a fait une croix sur nos velléités d’acheter des choses éthiques, saines ou bio : d’abord parce qu’il n’y en a pas, et ensuite parce que déjà sans ça, les prix étaient un peu prohibitifs. Enfin, pas tant que ça, mais nos habitudes d’Amérique Centrales ont le cuir épais et tout nous parait très cher.

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En passant, on a longé sur quelques mètres le Mississippi !

Ce qui n’arrange rien, c’est l’affichage sans taxes, le passage à la caisse est toujours un doux moment de surprise… Mais en tant qu’étrangers on a un gros avantage : après les courses, on peut aller dans un « Tax-refund center » et se faire rembourser toute la TVA pourvu qu’on prouve qu’on va repartir du pays ! C’est un peu alambiqué, mais ça revient à faire ses courses en Duty-free pour acheter autre chose que du parfum et de l’alcool…

Ensuite, on a bravé les éléments sur environ 200 mètres pour atteindre un boui-boui à poulet. Ça ressemblait à un fast-food classique, mais on y a mangé du gumbo (et ça nous a bien réchauffé !) et du poisson, soient des trucs façon Louisiane quand même, c’était curieux. Ensuite on est retournés se balader dans les rues quelques minutes. Ici, les gens ne sont clairement pas habitués à l’hiver, parce que les rues sont désertes et les bars et restaus ferment, faute de clients qui restent tous terrés chez eux.

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On est passés se réchauffer au musée du Presbytère, un des musées public principaux, où on trouve une exposition historique sur Mardi-Gras, et une plus récente sur Katrina. Si les sujets vous passionnent, on vous le suggère, l’un était plein de costumes extravagants et l’autre d’objets et d’anecdotes sur le passage de l’ouragan dans la ville.

On a aussi fait un passage à la Cathédrale, fondée par les Français, avec des statues de Saint Louis et Jeanne d’Arc. Pour une fois, il faisait beaucoup plus chaud dans l’église que dehors, et c’était pas du luxe !

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Après tout ça, il n’était pas bien tard, mais nos orteils et nos oreilles menaçaient de partir en grève, donc on a fait des courses (et on a trouvé un gros pain un peu comme une baguette qui s’avère très bien, surtout grillé !) et on est rentrés. Ben a fait une super quiche, et ça faisait bien trop longtemps !

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Étaler la pâte avec une canette de bière : check !

Le temps ne s’arrange pas, l’isolation de la maison est vraiment pas top, donc si on ne finit pas congelés dans notre lit, à demain !

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Nouvelle-Orléans – Jour 2 : repos

Aujourd’hui, on a rien fait !

On avait encore pas mal de sommeil et fatigue à rattraper après les 2 jours de voyage (et la nuit blanche dans l’avion), du coup on a fait une grosse grasse mat’.

Et puis aujourd’hui, il faisait super moche et 7°C dehors, alors on avait pas trop envie de sortir, donc on a regardé quelques épisodes, et surtout mis à jour le blog (n’oubliez pas d’aller voir les articles précédents).

Le soir, on a été manger dans un très bon restau italien, et on s’est baladés un peu sur Canal Street, mais il s’est mis à pleuvoir fort, alors on est rentrés se mettre à l’abri.

Voilà, pas la journée la plus excitante du voyage, mais ça fait du bien de faire une pause de temps en temps 😉

P.S : vu qu’on a pas de photo, on vous met une photo de la façade d’une bibliothèque de Léon avec une belle citation dessus (bon, c’est le texte rouge en assez petit sur la photo, alors les plus vieux de nos lecteurs devront peut-être zoomer un peu 😉 ).

« Un enfant qui lit est un adulte qui pense, un adulte qui lit est un enfant qui imagine »

 

2 réponses sur “Nouvelle-Orléans – Jour 2 : repos”

  1. Message pour Milan
     » Hi Milan, we are very pleased ro see a foto of you with Ben, that’s very nice to have welcolmed Alice and he. you seem very well, we hope you enjoy your life in New Orleans.
    You always stay in our heart. Be happy
    Your  » french Family  » from Pont les Moulins

    Dominique and Christine

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Nouvelle-Orléans – Jour 1 : promenade et découverte

Aujourd’hui, on explore un peu !

wp_20171205_11_34_00_panorama_rOn a émergé raisonnablement tard de notre sommeil de plomb, et Milan nous a guidé jusqu’à un super endroit pour un petit déj. On a découvert les grits, une sorte de rencontre entre du porridge et du riz-au-lait, mélangé dans ce cas avec du fromage (pas fort). Ensuite, on a marché dans les rues de Treme, le quartier de Milan, et on s’est assis sur un banc entre ombre et soleil pour papoter un bon moment.

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On est passé devant ce sympathique potager urbain avec libre-service !

Comme pas mal de villes américaines, la densité des constructions est pas forcément liée à une position plus ou moins centrale, ni d’ailleurs au niveau de vie d’un quartier. Treme, quartier d’où ont émergé pas mal de musiciens de jazz, n’est pas très riche, mais malgré tout est composé de jolies maisons à un étage, peintes de couleurs douces, avec des jardins et des grands arbres. Comme partout, les rues sont larges et les voitures rutilantes (et monstrueuses).

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En milieu d’après-midi, on est partis vers notre logement, un studio qu’on loue pour la semaine, à Mid-Town. C’est un quartier un peu plus chic, mais avec le même genre de maisons, quoiqu’un peu plus élaborées. Sur tout notre chemin (4km quand même), on a croisé des gens qui nous ont salué, des habitants sur des chaises à bascules sous les porches qui profitaient du soleil, tout le monde était très sympa et accueillant (même si on ne faisait que passer). J’en profite pour préciser qu’une énorme partie de la population est noire, et que l’accent local est superbe (combinaison d’accent afro-américain et d’accent des États du Sud), malheureusement j’ai peur qu’on soit trop blancs pour pouvoir parler comme ça sans faire tâche…

Notre chambre s’avère encore plus cool que prévu. On s’y était pris assez tard pour ne pas avoir beaucoup de choix dans nos prix, mais on s’en sort très très bien. On va pouvoir cuisiner un peu, on a une grande télé, le frigo et la cuisinière sont à la taille d’ici c’est-à-dire énormes, et y’avait même un après-shampooing qui sent la princesse… On est à quelques minutes du tram qui nous emmène au centre, et les prix des transports sont très corrects (comparés à Paris où même Toulouse !)

Avec ce tram old-school, peint en rouge et aux bancs de bois, on a rejoint le quartier Français pour le diner. Les rues portaient des noms comme Bourbon (la plus connue), mais aussi Toulouse, et c’est clairement le quartier de la fête et du tourisme. Comme le temps se gâtait et la pluie arrivait (avec un vent froid comme on en a pas eu depuis un bon moment), les restaus ont fermé tôt, et on a fini par trouver un coin pour manger du poisson frit à la mode locale et une jambalaya. On a pris le dessert dans un café, constitué d’un traditionnel beignet (chacun) couvert de sucre glace, avec du chocolat chaud !

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Dans le centre-ville, les bâtiments sont plus hauts et les rues plus étroites, bien sur. Il y a aussi de gros travaux en ce moment pour rénover les égouts, qui étaient dans un tel état il y a quelques temps que les inondations ont causé un mélange avec l’eau de pluie et des remontées dans les réseaux. La bouffe du coin avait donc gout d’égout, et comme la bouffe, ici, c’est sacré, ils ont fini par  lancer les travaux ! Pas très loin, le quartier des affaires toise tout le monde avec ses tours illuminées, et les places couvertes de jardins offrent de bons points de vue.

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On a fini par rentrer au chaud, passant acheter sur le chemin du lait et des céréales pour déjeuner demain matin dans une pharmacie ouverte 24/7 avec un drive-in (oui cette phrase est très étrange).

A demain, des bisous !

PS : n’oubliez pas l’article précédent qui est sorti en même temps ! Il est juste un peu plus bas 🙂

Miami – Jour 1 : plage et diner

Aujourd’hui, on était à Miami !

Miami

On a commencé par atterrir vers 7h à Fort Lauderdale (a coté de Miami) heure locale, après 2h30 d’avion, trop court pour vraiment dormir. Donc c’est un peu K.O qu’on a passé l’immigration et la douane américaine. Heureusement, on a pas eu de souci, c’était même plus simple que ce qu’on pensait.

Comme on savait pas combien de temps il nous fallait pour passer la douane, on avait pas pris la correspondance à 8h, et le prochain avion pas hors de prix c’était celui de 22h. Donc on avait la journée à attendre ! On a donc décidé de se louer une voiture et d’en profiter pour visiter les environs.

On dirait pas qu’on est en décembre !

Alors oui, on a loué une voiture, on a pas pris les transports en commun. Mais bon, ça fait trois mois qu’on fait exclusivement des transports en commun, et ce coup-ci on était un peu trop K.O pour avoir l’énergie de s’adapter à un nouveau réseau, et surtout on voulait être sûrs de pouvoir rentrer à l’aéroport à l’heure. Et puis on voulait pas défaire notre super assemblage des sacs pour le bagage soute (voir article d’hier), et se trimballer avec c’était pas très pratique.

Au début, on voulait prendre une Ford mustang, histoire de se fondre dans le décor, mais vu qu’on est aux États-Unis, le prix affiché au départ est sans taxe, du coup on s’est vite rabattus sur la voiture la moins chère. On a commencé par aller petit-déjeuner à un diner, avec une solide impression d’être en plein Pulp Fiction (zut, j’ai oublié mon porte-feuille « bad motherfucker » en France 😉 ). Puis on a été à la plage, histoire de faire la sieste au soleil.

L’atlantique à Miami, plus froid que le Pacifique au Nicaragua !

On s’est assez vite rendus compte que les États-Unis, c’est peut être la « land of the free », mais y’a pas grand chose qui est free ! Parking à 2$ de l’heure, qu’il faut payer en monnaie, et si tu veux de la monnaie, le magasin d’à coté te force à acheter quelque chose (le moins cher étant la bouteille d’eau à 2.5$). Pareil pour l’accès à la jetée sur la mer, qui est facturé 2$. Même les routes à péages te préviennent au dernier moment qu’en fait ta plaque vient d’être scannée et que tu viens de payer le péage, sans indication préalable que t’étais sur une route à péage !

Ensuite on est descendus vers Miami Beach, ce qui en fait faisait vraiment loin de Fort Lauderdale. Mais ça nous a permis de longer la cote avec les énormes avenues bordées de palmiers sous un ciel bleu, et avec la vieille musique américaine à la radio, ça faisait vraiment GTA (sauf qu’on a renversé personne, enfin je crois…) !

Miami Beach

Après un lunch tardif et une balade sur la plage, on a commencé à se rediriger vers l’aéroport, mais c’était déjà le début des bouchons. On en a évité pas mal, mais la distance à parcourir était quand même très grande. Les Américains sont habitués à passer beaucoup de temps en voiture, et du coup quand ils te disent que c’est pas loin, pour un Français c’est 2h de route ! Du coup ça nous a paru assez long de revenir.

Juste avant l’aéroport, on s’est garés sur un parking de supermarché et on a dormi comme des souches dans la voiture. On aurait pu faire ça à l’aéroport, mais l’aéroport est climatisé réfrigéré vraiment froid, et nous on est en short et T-shirt ! Ensuite on a été rendre la voiture, après avoir galéré à la pompe à essence, ce qui a bien fait rire le caissier.

Voilà, du coup on a atterri à la Nouvelle Orléans vers minuit, et on a été chez Milan, un ami de mon frère Martin, qui nous a très gentiment hébergé pour la nuit.

Sortie du Nicaragua

Aujourd’hui était dédié aux valises et aux transports !

On a fait un dernier tour dans Léon avec notre ami Markus, pour boire un jus de fruits frais et profiter de la chaleur et de la poussière <3

Ensuite, on s’est attelés à nos sacs. Comme on est des gros radins, on a acheté qu’un seul bagage en soute. Ce soir, on vole low-cost, et tout est payant, et un bagage coute environ le prix du billet (donc pas énorme, mais quand même). Du coup, c’était le grand jeu de bagages.zip, à coup de cordes à hamac, boucles et mousquetons, pour jumeler nos deux sacs de rando, fourrer les choses les plus lourdes dans un petit sac à dos et mesurer le tout !

 

Challenge réussi puisqu’on est à 17,6 kg de bagages en soute pour 18 kg autorisés, sans compter le plastique de protection qui fait croire aux agents que oui, ceci est bien UN bagage 🙂 On a aussi du vérifier que la somme longueur + largeur + hauteur de l’ensemble faisait bien moins d’1,57 m, parce qu’avec les retard units unités impériales ça tombe jamais bien juste !

A Léon, on a pris un vélo-taxi pour aller au terminal (un mec qui pédale derrière une charrette, l’ensemble sous un toit pour faire de l’ombre) et c’était sympa pour voir la ville autrement. Ensuite, un mini-bus nous a emmené jusqu’au terminal de Managua en 2h avec le double-sac sur les genoux, et là, un taxi normal avec un coffre nous a emmenés à l’aéroport. On y est depuis plusieurs heures, ils nous en reste encore quelques unes, mais on a du wi-fi, des films et des cookies, et y’a même du poulet frit à côté !

On devrait décoller à 2h et demie du matin (9h30 en France) et atterrir en Floride demain matin, pour une journée d’exploration (peut-être) avant de reprendre un vol nocturne pour la Nouvelle-Orléans !

Pour ceux qui voudraient suivre les vols (parce qu’on sait qu’il y en a) : ce soir et demain. D’ici là, des bisous !

Léon – Jour 4 : glandage et bières

Aujourd’hui, on a vraiment rien fait !

Bon, vu qu’on est dans un hôtel de standing, on rentabilise ! Ok, c’est pas le Hilton, mais par rapport à ce à quoi on s’est habitué, ça nous fait un choc ! Les fenêtres ferment (et isolent vraiment du bruit), il y a une piscine, on a la clim (qu’on ne règle pas aussi froid que les locaux heureusement) et les rideaux sont épais (pour une fois tout le monde nous voie pas à oualpé dans notre piaule…).

Du coup on a fait la grasse mat’, puis on a été manger le très bon petit dèj inclus, et on est retourné glander. Après tout, il faut bien qu’on se repose avant de passer deux jours à voyager dans les aéroports.

En début d’après-midi, la faim nous a poussé à sortir de notre tanière et on a été se manger du poulet frit bien gras (parce qu’on va manger tellement sain pendant les fêtes de noël 😉 ). On s’est ensuite baladés en ville histoire de prendre le soleil encore un peu avant de retourner à l’hiver, et on en a profité au passage pour se négocier un petit hamac à ramener en souvenir 🙂 .

On pensait rentrer à l’hôtel avant d’aller un dernier coup au ciné, mais au final on s’est décidés pour une bière en terrasse. Nos deux voisins de table, deux jeune Nicaraguayens, nous on invités à nous joindre à eux et on a passé un bon moment à discuter de sujets divers (en espagnol), agrémenté de quelques bières.

Le selfie au bar

Bon du coup après le bar on avait loupé la première séance de ciné, donc on est rentrés à l’hôtel, en passant devant ce qui doit être le marché de noël du coin…

Mais où est le vin chaud ?

La deuxième séance de ciné est maintenant, mais on a grave la flemme (déjà que j’ai bien la flemme d’écrire le blog…). Donc pas d’autres aventures pour aujourd’hui. Et comme on sera en train de voyager, il est probable qu’il n’y ait pas d’article avant mardi (voir mercredi, en France). Mais promis, on vous racontera comment on aura casé le hamac dans notre unique bagage cabine autorisé dès qu’on sera bien arrivé à la Nouvelle-Orléans !

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Leon – Jour 3 : églises, coupoles…

Aujourd’hui, on a enfin visité Léon !

On a commencé par quitter notre auberge et migrer vers notre dernier hébergement en Amérique Centrale. Pour fêter ça, on a pris un truc un peu plus classe, et on a bien fait vu que l’autre a un wifi pourri et a essayé de nous arnaquer sur la fin. Du coup, on a une piscine, un internet rapide comme l’éclair, et on est tout près du centre !

Le centre, parlons-en. On a fini par explorer les rues de Léon, qui se finissent souvent par une place et/ou un édifice religieux !

Et comme dans la plupart des villes qu’on a vu, l’église centrale (ici la cathédrale) offre, pour une somme modique, un accès à un panorama sympa ! Ici, on est carrément montés sur le toit, qui est en ciment peint en blanc (ne posez pas de question, on a aucune réponse) et on a du enlever nos chaussures pour ne pas l’abîmer ! C’était un peu surréaliste, mais sympa.

Du coup, on avait plein de vues sur les environs, avec des volcans partout autour de la ville, et les parcs, places, rues et jardins de Léon !

L’ambiance de la ville est assez sympa, mais la ville est super bruyante ! Il y a toujours un magasin qui met de la musique à fond, des klaxon, un tambour quelque part, une moto qui passe en vrombissant ou les cloches d’une des nombreuses églises pour vous ramener à la réalité. Ça ne nous a pas empêché de nous arrêter ici et là pour observer la ville ou boire une limonade…

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Après cette balade, on a recroisé un voyageur allemand rencontré à Salinas Grandes, on est allés boire quelques bières et casser la croûte avec lui, et après il était tard !

Des bisous, à demain !